Il est quasiment impossible de se présenter à l’improviste à l’Ourson qui boit et avoir la chance de trouver une table. Il faut en général réserver 15 jours à l’avance. Cela est évidemment dû au succès mérité que rencontre ce restaurant installé sur les pentes de la croix rousse, rue Royale, pas loin de la Mère Brazier.
C’est un jeune chef japonais, Akira Nishigaki, qui tient se petit établissement avec sa femme. Il y propose un seul menu gastronomique le soir, à un prix défiant toute concurrence pour une telle qualité.
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